segunda-feira, 29 de novembro de 2010
Que Nadie Calle Tu Verdad
Empezaron los problemas
se engancho a la pena
se aferro a la soledad
ya no mira las estrellas
mira sus ojeras
cansada de pelear.
Olvidandose de todo
busca algun modo
de encontrar su libertad
el cerrojo que le aprieta
le pone cadenas
y nunca descansa en paz
y tu dignidad se a quedado esperando a que vuelvas
Estribillo
Que nadie calle tu verdad
que nadie te ahogue el corazon
que nadie te haga mas llorar
hundiendote en silencio
que nadie te obligue a morir
cortando tu alas al volar
que vuelvan tus ganas de vivir
En el tunel del espanto
todo se hace largo
cuando se iluminara
amarrado a su destino
va sin ser testigo
de tu lento caminar
Tienen hambre sus latidos
pero son sumisos
y suenan a su compas
la alegria traicionera
le cierra la puerta
o se sienta en su sofa
y tu dignidad se a quedado esperando a que vuelva
Estribillo
Que nadie calle tu verdad
que nadie te ahogue el corazon
que nadie te haga mas llorar
mintiendote en silencio
que nadie te obligue a morir
cortando tus alas al volar
que vuelvan tus ganas de vivir
Que nadie calle tu verdad
que nadie te ahogue el corazon
que nadie te haga mas llorar
hundiendote en silencio
que nadie te obligue a morir
cortando tus alas al volar
que vuelvan tus ganas de vivir...
Manuel Carrasco
quinta-feira, 25 de novembro de 2010
Je Te Dis Vous
Vous viviez comme un prince, je chantais pour trois sous
Dans un bal de province et je rêvais de vous
A la fin du polar, quand vous ne mouriez pas
Comme je l'enviais la dame qui souriait dans vos bras
Je vous aurais aimé avant de vous connaître
Mais vous aurais connu avant de disparaître
Je ne suis pas peu fière, mais je tiens à en rire
Entre toi et le poster j'ai du mal à choisir
Et je te dis vous
M'avez éblouie
Moi qui n'étais rien
Vous qui aviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, tout en noir
Quand vous êtes venu
M'écouter un soir
C'était au mois de mai, j'm'en souviendrai toujours
J'étais morte d'angoisse, vous sachant là dans l'ombre
Puis sont venus vos fleurs et l'espoir d'un amour
Vous le grand, moi la p'tite, soyez là si je tombe
La gloire est si fragile et bien moins que mon cœur
On dit qu'elle est le deuil éclatant du bonheur
A la fin du polar, si vous deviez mourir
J'essaierais c'est promis de garder le sourire
Et je te dis vous
M'avez éblouie
Moi qui n'étais rien
Vous qui saviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, tout en noir
Quand vous êtes venu
M'écouter un soir
Et je te dis vous
M'avez éblouie
Moi qui n'étais rien
Vous qui saviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, tout en noir
J'etais si émue
Sous votre regard
Quand vous êtes venu
M'écouter un soir
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